Hommage aux femmes nobles
Princesse,
Pour le respect de l’humanité qui se presse
Se débat et veut aller vers l’avant sans cesse
Tu mérites qu’on te respecte ma princesse
Qui sans cesse me stress et jamais me laisse
Imagine un monde sans toi pour le sourire
Je t’assure que les hommes hélas vont souffrir
Imagine une vie où la rose est sans importance
La vie serait pour l’homme que simple errance
La vie sans toi est une histoire sans intrigue
Une chanson sans refrain qui bien sûr intrigue
Princesse ! Vois à quel point ta présence importe beaucoup
Pour toutes ces choses qui veulent bien boire un grand coup
Au grand banquet de la vie souvent hanté partout
Par la haine, les guerres et les assassinats surtout.
Tu n’as donc pas le droit de ternir cette image de toi
Sinon ton odeur serait telle celle du putois
Qui nous enverra tous vers la vie sans loi ni foi.
Ecoutes et vois ma désolation devant ces cas
Allons, avançons pas à pas et tu verras.
1er cas
Dans un coin de rue, j’ai vu un enfant très petit
Qui bien entendu va périr, c’est un pari et un cri
Car une femme insolente l’aura laissé là sans remords
Espérant que les alentours envoient une lettre à la mort.
Le fruit de nos entrailles né d’un père et d’une mère
Ne mérite –t-il pas mieux de la part d’une mère ?
2ème cas
J’ai vu des femmes au cœur sombre tel une ombre
Refuser d’oser avancer car elles sont de l’ombre.
Elles préfèrent au contact du feu frire le concombre
Et laisser la place à certains hommes insolents et incompétents.
Oser s’imposer, voilà ce à quoi doit tendre nos mamans.
Pour le respect de l’humanité qui se presse
Se débat et veut aller vers l’avant sans cesse
Tu mérites qu’on te respecte ma princesse
Qui sans cesse me stress et jamais me laisse
Ta belle silhouette toute chouette telle celle d’Alouette
Me rappelle à quel point dans toutes tes facettes
Tu es douce, gracieuse, merveilleuse
Car ton regard perçant rend mon âme toute pieuse.
Tu n’es pas l’origine insolente du mal
Comme veut le faire croire ces phrases fatales.
Mais le vent doux qui souffle quand il fait chaud
Ce soleil qui refroidit quand il fait froid au dos.
Ô Princesse, n’aies pas peur car viendra ton heure
Reste sereine et ne remue pas tes fesses
Sinon on t’appellera à tort gonzesse
Et sur ton postérieur se poseront des mains
D’imbéciles qui souilleront ton esprit fin.
Pour le respect de l’humanité qui se presse
Tu mérites qu’on te respecte ma princesse.
Ouaga 10 /04 /08
08h01
A découvrir aussi
- A toutes les mères
- Nouvel accord d'Entreprise
- Les différentes approches de la question "Dieu existe-t-il?"
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 37 autres membres