Analyses Critiques

Analyses Critiques

Ma source d'inspiration

Comme j'ai tendance à le dire et le plus souvent avec raison, la verité c'est que j'aime parlé. Je suis extraverti par moment et je parle toujours de moi, de mes rêves et de ce que j'ai laissé derrière moi et surtout des combats que je veux mener. J'ai horreur d'une chose, c'est celle de parler des autres inutilement et dans un mauvais dessein. J'ai tellement de choses à dire sur moi-même que je ne peux pas gaspiller mon temps à parler d'un autre.

Mais ce qui est exceptionnel, c'est que lorsque je parle de moi, je me decouvre en même temps, je decouvre certaines parties de moi-même que j'exprime sans même m'en rendre compte. C'est comme cela que je me decouvre parfois. La vérité sur moi-même se trouve dans chaque mot et chaque phrase que je laisse sortir de ma bouche.

Parler moi, me fortifie. Je l'ai decouvert il ya très longtemps. Avant toute action importante pour moi et/ou j'ai parfois un peu le tract, il me suffit de parler, de me parler à moi-même pour que la confiance renaît.

J'ai toujours le sourire aux lèvres pour ceux qui me connaissent, même quand tout semble perdu, incertain, difficile. Parler me donne cette force de croire en mon avenir, en ce que je peux être capable de surmonter ce qui m'arrive.

Parfois, certains disent que les hommes qui parlent beaucoup n'ont pas de secrets. Faux! c'est méconnaître certaines qualités en l'homme, notamment sa capacité à être intelligent et de savoir ce qui est bon pour lui ou pas. Quand on parle, on se libère, on dit des choses car on estime qu'elles peuvent servir à quelque chose. Mais rassurez vous, personne ne dira quelque chose qui puisse le compromettre, soyez en sûr. Et donc, y a pas homme capable de garder un secret qu'un Homme bavard. Pensez-y. Il sait faire la difference entre le disible et le non-disible.

A defaut de pouvoir parler, j'ecris. C'est une façon pour moi de vider le mal qui me ronge à l'interieur de moi, de le poser en face de moi et de l'analyser afin de lui trouver un remede.

Je ne baisse jamais les bras, j'ai horreur de perdre, mais j'ai pas peur d'échouer. Il m'arrive souvent de gagner dans l'echec que dans la victoire. Mais j'evite de perdre. Car là, ça devient douloureux et cela cré un manque difficile parfois à combler.

Parler = me liberer pour esperer et avoir envie de soulever des montagnes.



19/05/2009
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